Utilisez l'œilleton et vous verrez...
...la cour qui sert de "promenade"...
...les fenêtres des cellules.
le même mûr sous un autre angle |
Mais aussi de vieilles poignées de porte...
...et des cachots...
N'oublions pas que cette maison d'arrêt fût un couvent et que les décorations ont perduré :
Les caves voûtées sont encore là...
...ainsi que les couloirs à l'architecture d'Eglise :
l'atelier |
sans légende |
les parloirs |
les barbelés |
Et maintenant la nature reprend ses droits :
Enfin et comme souvent je ne peux pas vous laisser sans un 22 :
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Avec cette nouvelle série, tu ne t'enfermes pas dans un style. Tu arrives même à mettre un brin de poésie dans dans endroits comme celui ci... Magnifique
RépondreSupprimerL’œilleton à travers lequel plus personne ne regarde, la cour qui se sent si abandonnée sans aucun promeneur, les fenêtres ouvertes pour des prisonniers déjà disparus, une poignée rouillée qui ne tournera plus à côté d’une serrure bouchée.
RépondreSupprimerEn définitive, il n’y a que la nature qui est libre. Elle reprend possession des lieux et s’impose lentement partout, sans autorisation ni sentence.
Merci pour ce voyage intemporel.
Marc
Ben moi si, j'ai bien essayé d'utiliser l'œilleton, mais j'ai rien vu !!...
RépondreSupprimerGrâce à ces clichés saisis in extremis, ante mortem, il restera pour l'avenir un témoignage de valeur documentaire et historique.
Ben moi si, j'ai bien essayé d'utiliser l'œilleton, mais j'ai rien vu !!...
RépondreSupprimerGrâce à ces clichés, saisis in extremis, ante mortem, il restera pour l'avenir et pour les futurs propriétaires, un témoignage de valeur documentaire et peut-être même historique, que les chercheurs auront l'opportunité d'insérer à l'appui de leurs thèses.