Les traces de ces passés sont encore présentes, la preuve :
Mais si la précédente preuve est récente, d'autres sont d'époque :
Cour d'Assises |
Détail du plafond |
Et voici "la souricière" où attendaient les accusés avant de renter dans la salle d'audience.
Et ici l'escalier menant aux différents bureaux et son filet "anti-suicide" ne retenant aujourd'hui que les morceaux tombant du plafond :
Les greniers, qui devaient servir d'archives...
possèdent de superbes charpentes :
Cette deuxième salle était vraisemblablement le Tribunal Correctionnel :
Là aussi, le temps et... les pigeons ont abîmé ce Tribunal.
Détail d'une colonne |
Pourtant certains bureaux ont gardé le cachet d'antan :
Enfin pour les passionnés d'histoires judiciaires, sur les murs de la souricière, ont été inscrits par les Policiers ou les Gendarmes le résultat de certains procès.
Et pour la session d'assises de Septembre 1933 figure le verdict concernant les filles Papin Christine et Léa.
Cliquez pour agrandir |
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