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J'ai déjà évoqué les paysages de "la Côte de Beauté" qui porte souvent bien son nom :

J'ai déjà aussi évoqué les traces laissées par la seconde guerre mondiale. Royan lui doit son nouveau visage puisque la ville a été détruite à 95% en 45 par les bombardements alliés ; l'utilité de ceux-ci fut et est toujours discutée par les historiens.
Je reparlerai de la présence allemande dans la région à l'occasion du prochain article.

Mais l'appropriation graphique de cette base de canon m'a fait sourire :

Mais Royan c'est aussi la pelote basque importée du Pays Basque via Les Amériques par Camille Ménard qui fit ériger un fronton
en  :

Le  grand chistera, cesta punta en espagnol, y partage la vedette avec la pala.

Deux gestes importants sur la cancha (le terrain)  :

La réception

et le renvoi de la pelote.

La région royannaise se situe sur l'estuaire de la Gironde et l'escalier suivant conduit au sommet de la tour de guet (des feux)...

d'où l'on peut voir, à 60m au-dessus du niveau de la mer, un panorama à 360° de cette embouchure.

Et pour finir en plagiant le dernier post. Ceux qui suivent ce blog savent que j'ai forcément repéré des 22,

au thème marin,

ou bucolique.

PS : Merci à C.V., O.T, L.T (X2), J.M.C, R.P et à tous les autres sans oublier VéVé, VR, LL sans qui ce séjour n'aurait pas eu cette saveur.



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