J'évoquais dans le dernier article le passé industriel de Roubaix. Cette industrie, celle du textile, a façonné le paysage de ces deux villes et les cheminées qui ont résisté au temps en sont les vestiges.
Roubaix fût même surnommée "la ville aux 1000 cheminées". Il semblerait que le nombre réel était de 365 en 1930, ce qui est déjà énorme au vu de la superficie de la commune (13km²). Tourcoing en avait à peu près le même nombre.
Mais ce ne sont pas les seules traces qui subsistent et je ne pouvais pas ne pas évoquer ça :
Des châteaux d'eau construits pour répondre aux besoins sans cesse grandissants des usines du secteur.
Érigés à partir de 1863 par l'ingénieur Varennes, ils contiennent 1000m3 et sont à ciel ouvert puisqu'il ne s'agit pas d'eau potable.
Dans la même veine, deux photos de l'ancien pont hydraulique de Tourcoing (1909). Aujourd'hui, il ne s'élève plus pour laisser passer sur le canal les bateaux remplis de charbon destiné à ces mêmes usines mais quelle ingéniosité.
Pour terminer, quelques ancres de façade qui servent à consolider les constructions :
et un dernier mot...
avant de prendre un ticket de tramway pour rentrer.
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